Puisqu’on est au pays de la nostalgie (si tant est que l’on puisse vraiment traduire ainsi la « saudade »), le mousse du Ruzé profite de notre escale forcée pour faire quelques incursions dans ses souvenirs.
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Puisqu’on est au pays de la nostalgie (si tant est que l’on puisse vraiment traduire ainsi la « saudade »), le mousse du Ruzé profite de notre escale forcée pour faire quelques incursions dans ses souvenirs.
On traîne comme des chats dans les rues de Peniche et on boit de la Sagres au coucher du soleil face à l'Atlantique… Bref, on n'a pas une vie facile !
Peniche 838 MN (depuis La Trinité/Mer)
Après une escale d’une nuit à Peniche, petit port de pêche à 100 km de la capitale, on largue la dernière amarre pour partir vers Lisbonne et soudain, tacatacatac, le moteur émet un bruit affreux. Ni une ni deux, on coupe les gaz et on réamarre le bateau aussi sec. Après une première auscultation de M. Yanmar, le diagnostic est sans appel : y a une merde dans l’inverseur* !