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Escales

  • Le retour du Ruzé : Degemer mat !

    Le 10 juin dernier, après onze jours de galopade à travers l'Atlantique et essuyé la queue de la tempête Miguel, Le Ruzé est arrivé paisiblement jusqu'à Saint-Goustan, son nouveau port d'attache. Il avait quitté Le Crouesty de bon matin avec la marée montante pour remonter la rivière d'Auray où il a croisé "L'Indomptable", futur voisin de bouée. Cela faisait tout drôle de le voir surgir de la boucle après Le Bono, au milieu des "prés salés", entre les berges, tel "Le Gros Ruzé dans la prairie"… car pour ce dernier grand voyage, ni le mousse ni le capitaine n'était à bord. Nous l'avions confié aux bons soins d'un skipper et de ses trois équipiers. Tony, Hervé, Michel et Christophe ont ramené notre bateau à bon port en dépit de conditions météo assez rock'n'roll. Joie des retrouvailles avec notre maison flottante !

    Rencontre au sommet.JPGLa vie de château.JPGArrivée Ruzé3.JPGRuzé arrivée 4.JPGA new life.JPG

  • Des toros et des hommes

    Grâce aux copains du voilier Ia Orana, l'équipage du Ruzé s'est défoulé de sa semaine de travaux en allant assister sur leur balcon (la petite famille louait une maison "en ville") à une tourada. Ces courses de toros - qui ne se pratiquent aux Açores qu'à Terceira - sont une bonne occasion de tester son aptitude à la course et au saut de muret. Car il ne s'agit pas seulement de défier la bête, mais aussi de réussir à échapper à ses cornes et à ses sabots. Heureusement, les bestiaux en question sont plutôt pacifiques. Ici, pas de banderille, ni de mise à mort, on se contente d'agiter devant leur museau un chiffon rouge ou un parapluie !

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  • Retour (furtif) à Praia da Vitoria

    La semaine dernière, l'équipage a pris l'avion pour les Açores, pour Terceira exactement, où il avait laissé Le Ruzé hiverner tranquillement en compagnie de son copain Namasté II.

    On serrait un peu les fesses… Avait-il passé l'hiver sans moisir et/ou se remplir de sable ? Quid de l'électronique et des batteries ? Car l'enjeu était de taille : le rendre opérationnel en moins de dix jours avant de le confier aux mains d'un équipage expérimenté pour le retour en Bretagne.

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