Les pauses bière se faisaient plus fréquentes, le mousse fredonnait l’hymne du supermarché en faisant la vaisselle, on commençait à connaître tous les marineros par leur prénom… Bref, il était temps de quitter Tenerife pour partir au Cap-Vert. Sauf qu’une fois de plus, la météo s’est moquée de nos prétentions en nous offrant un bon coup de vent pour la fin de la semaine prochaine. Alors l’Afrique, ce sera… pour Noël.