Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 8

  • Tu n'as rien vu au Cabo Finisterre

    538 NM (depuis La Trinité)

    Nous nous faisions une joie de saluer l’une des péninsules ultimes du Vieux Continent… ou au moins son phare car c’était en nocturne. Mais là encore, la brume est venue jouer les trouble-fête. Dans la nuit opaque, on ne distinguait même plus l’étrave du Ruzé qui fonçait à 7 nœuds dans le brouillard. Nous avons donc doublé le Cap Finisterre en toute cécité, le 4 septembre à 4h30 du matin. Et là encore, on remercie qui ? Le radar, bien sûr ! Il y a gagné un petit nom, Marcel, car il lui faut le temps du préchauffage… (Non, non, on n’écoute pas Brel du matin au soir).

    Lire la suite

  • La niebla

    La Corogne - 468 milles nautiques (depuis La Trinité)

    Au départ de la Corogne, soudain, la purée de pois totale… On a donc dû jouer de la corne de brume dans le chenal en serrant les fesses (merci le radar !). La Tour d’Hercule (le phare romain de la Corogne) a daigné émerger quelques secondes de la brume (en compagnie d'un château d'eau !) pour nous faire ses adieux.

     

  • Jojo*

    390 NM (depuis La Trinité)

    Comme le régulateur d’allure continue de faire la gueule, nous avons ressorti notre bon vieil élastique. Attaché de part et d’autre de la barre, Jojo, puisque c’est son petit nom, barre comme un chef et sans jamais se fatiguer. A peine a-t-il besoin de temps à autre d’une caresse du pied pour se recaler au cap. Et nous, on peut enfin bouquiner tranquille !

    *Hommage à Brel (cf l’album « Les Marquises ») et à Jean-Pierre, qui nous a transmis les secrets du « pilote automatique du pauvre » lors de notre première escapade sur son Cognac en 2012.