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Bloqués au ponton par le mauvais temps, nous avons dorloté nos courbatures post-cours de surf au café avec vue imprenable sur Le Tage en colère, mais certaines embarcations avaient quand même décidé de prendre le large pour faire quelques exercices, tels ce sous-marin. D'autres n'avaient certainement par le choix comme ce cargo…
Enfin des kamikazes avaient, quant à eux, décidés de monter sur les planches quoi qu'il arrive (est-il utile de préciser que nous n'étions pas du nombre ?).
Puisqu'il nous faut passer plus de temps que prévu à Lisbonne, nous avons décidé après quelques jours à Cascais de retourner à Oeiras, la première marina où nous avions atterri en remontant le Tage. En effet, Cascais, hormis son joli phare bleu et rouge tel un jouet, n'offre pas grand intérêt pour le visiteur de passage. Sauf, bien sûr, la possibilité de mouiller devant la plage pour économiser le prix de la place de port quand le vent est favorable.
Aujourd'hui, le Portugal version maritime, ce n'est plus seulement la pêche, mais le surf. Comme la tempête annonce de beaux rouleaux ce week-end, l'équipage du Ruzé relève le défi : samedi, il va défier les tubes qui vont déferler sur les plages de Cascais.