On traîne comme des chats dans les rues de Peniche et on boit de la Sagres au coucher du soleil face à l'Atlantique… Bref, on n'a pas une vie facile !
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On traîne comme des chats dans les rues de Peniche et on boit de la Sagres au coucher du soleil face à l'Atlantique… Bref, on n'a pas une vie facile !
Peniche 838 MN (depuis La Trinité/Mer)
Après une escale d’une nuit à Peniche, petit port de pêche à 100 km de la capitale, on largue la dernière amarre pour partir vers Lisbonne et soudain, tacatacatac, le moteur émet un bruit affreux. Ni une ni deux, on coupe les gaz et on réamarre le bateau aussi sec. Après une première auscultation de M. Yanmar, le diagnostic est sans appel : y a une merde dans l’inverseur* !
De Porto à Peniche : 136 MN
Au petit matin, joie de croiser des dauphins par dizaines, bondissant et jouant autour du Ruzé. Une véritable fête pour l’équipage au sortir d’une nuit de navigation passée à scruter les cargos et autres bateaux de pêche au large de Figueira da Foz. Et le spectacle était aussi dans le ciel : des centaines d’oiseaux – fous de Bassan, Puffins, goélands et autres sternes – tournoyaient au-dessus des dauphins en nous régalant de leurs plus beaux loopings… Le Ruzé lui aussi glissait joyeusement dans la houle avec des pointes à plus de 7 nœuds, toutes voiles dehors, comme s’il voulait rivaliser avec la virtuosité des animaux marins.