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  • Les dessous de la marina

    Pas la peine d'aller plonger avec masque et tuba ! Depuis que Le Ruzé est amarré à la marina d'Etang Z'abricots, il n'y a qu'à se pencher pour observer l'appétit légendaire des barracudas. Sous les pontons, ils sont légion, du plus minus - quelques centimètres - au fauve de près d'un mètre cinquante ! Parfaitement immobiles (joie de la photographe !), ils guettent l'instant fatidique pour happer les proies imprudentes qui nagent entre les coraux de feu. On leur préfère l'adorable poisson-coffre aux yeux turquoise qui, lui, broute tranquillement entre les roches à la barbe du monstre, ses écailles épineuses le protégeant de n'importe quel prédateur.

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  • Bon retour les Dremmwel !

    Ils nous avaient quittés au Marin début avril, en partance pour la République Dominicaine, via la Guadeloupe, Antigua et autres escales de rêve. Depuis, Nico et Charlotte ont repris l'avion pour la France, mais l'aventure à la voile continue pour Swann et Marie, et leurs nouveaux équipiers avec lesquels ils ont déjà navigué des Antilles aux Bermudes (et à en juger par les cartes postales qu'ils nous ont envoyées du fameux triangle, on comprend pourquoi nombre de gens ne se sont pas privés d'y disparaître). Ils devaient partir aujourd'hui sur leur First fougueux pour la transat retour. On leur souhaite du vent mais pas trop pour cette seconde traversée de l'océan et surtout de rigoler autant qu'à l'aller. Salut les copains et buvez un coup à notre santé quand vous serez arrivés aux Açores !

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  • 22 mai : la Martinique commémore l'abolition de l'esclavage

    Hier, 22 mai, c'était jour férié en Martinique. Depuis 1981, on commémore ce jour-là, non pas la promulgation du décret rédigé par Victor Schoelcher le 27 avril 1848, mais la lutte des esclaves martiniquais pour que ce décret soit effectif dans la colonie. Echaudés par le rétablissement de l'esclavage en 1802 par Napoléon après la première abolition de 1794, les esclaves craignaient que ce fameux décret entériné par la IIe République ne s'applique qu'à la St-Glinglin, vu la farouche opposition des planteurs békés à la nouvelle loi.

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