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Bateaux - Page 9

  • Transat retour : le récit bientôt en ligne

    L'arrivée à Horta n'est pas de tout repos car la marina est plus que complète… On a déjà changé de place en moins de 24h, et lutté contre l'abordage d'un bateau en panne de moteur qui tentait de s'amarrer à côté du Ruzé… Sans parler des petits problèmes pratiques qui constituent de véritables défis pour les transateux hagards au bout de trois semaines de roulis. 

    Le mousse s'attelle donc doucement à la rédaction du récit du voyage, profitant du calme de la laverie, vous devrez donc encore patienter quelques jours avant de connaître les joies et les vicissitudes de notre périple à travers l'Atlantique nord.

    On peut d'ores et déjà vous dire qu'il a plutôt été marqué par le manque de vent que par la tempête. Heureusement, notre superbe gennaker, baptisé Magic Sail, nous a sauvés de l'enlisement promis par les calmes de l'anticyclone. Mais grâce à quelques grains pas piqués des vers, il y a quand même eu de l'action à bord, puisqu'on a eu des soufflantes jusqu'à 40 noeuds… heureusement, elles n'ont pas duré longtemps !

  • Transat retour : Horta enfin !

    Après 22 jours de mer depuis Saint-Martin, Le Ruzé s'est posé jeudi matin à Horta, escale incontournable de la transat retour, pour tous les voiliers en provenance des Antilles et des Amériques, comme en témoignent les innombrables fresques et pochoirs de ceux qui ont fait la boucle de l'Atlantique…  bientôt, on dessinera le nôtre, dès qu'on aura remis la main sur ce satané pot de peinture rouge.

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  • Grand départ

    Cette fois, c'est parti pour plus de 2000 milles - entre 2200 et 2600 milles nautiques - soit plus de 4000 km qu'on espère faire majoritairement à la voile, mais vu le peu de vent qui va souffler la première semaine, peut-être serons nous obligés de faire appel au soutien de M. Yanmar et de ses 38 CV. Pendant trois ou quatre semaines, comme pour la transat aller, nous ne donnerons pas de nouvelles, sauf peut-être un texto ou un mail une fois par semaine via le téléphone iridium si la technologie s'avère coopératrice. Sinon, pas de nouvelles, bonnes nouvelles… L'équipage est  bien reposé après sa longue escale à Saint-Martin, donc en forme pour aborder la traversée de la grande baignoire vers l'Europe. Maintenant, y a plus qu'à…et rendez-vous aux Açores !