Depuis le passage des ouragans, notre gros Goulu quasi apprivoisé délaisse Le Ruzé… En revanche, les Colibris Madère continuent de se poser sur les bouts, haubans et autres barres de flèches. On a beau les voir chaque jour, on continue d'être fascinés par leur vivacité et le grésillement, aussi électrique que leur plumage, qui leur sert de cri.