Le chauffeur de l’aluguer, Fernando, nous débarque au sommet du cratère et nous donne rendez-vous à 17h de l’autre côté de l’île, au bord de la mer à Ribeira Grande. Pour l’instant, la mer, nous l’avons totalement oubliée. Nous ne pensons qu’à nous remplir avidemment les yeux de toutes les nuances de vert qui s’étalent au creux du cratère, cultivé avec soin par les agriculteurs du cru. Il y a même des vaches ! Chose incroyable dans ce Sahel atlantique !
Si les vaches captivent le mousse (qui a des origines normandes), ce sont les zoziaux qui captivent Erwan et le capitaine qui fouillent la végétation aux jumelles. Les paysans vont finir par nous prendre pour des gros pervers…
Le long du cratère, le paysage fait parfois penser au Luberon…
Parfois, aux Cévennes, avec les ânes, les chèvres et les enclos à cochons où reniflent les porcs poilus…