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Quand on arrive en ville

Palmeira, c’est sympa, mais il n’y a pas grand-chose pour se ravitailler autrement qu’en poisson. On embarque donc dans l’aluguer (le bus local), direction Vila de Espargos (rebaptisé Escargots par l’équipage qui a parfois du mal avec le portugais), la grande ville de l’île.

(Merci à Erwan pour les photos de couvertures)

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Elle étale ses constructions colorées et ses rues animées de part et d’autre de deux pics avoisinant les 200 m et, par contraste avec Palmeira, nous semble très étendue. Ici, c’est l’Afrique moderne : 4x4 et pick-ups rutilants, jeunes avec le portable vissé à l’oreille, supermarchés achalandés selon des standarts quasi portugais, places bordées de bars et de restaus où l’on peut capter le wifi…

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Mais aussi partout dans les rues, de petits étals où chacun vend un peu de tout : T-shirt, bananes, chaussures, bonbons, cartes de téléphone… Nous, nous cherchions désespérement un harpon pour la pêche mais nous avons fait chou blanc. Il faut dire que la ville est grande et qu’ici tout prend pas mal de temps (mais on se fait très bien au rythme capverdien et on prend l’habitude d’appliquer la fameuse maxime de Tonton Pierre-Yves : « Tu prendras c’que t’auras »).

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