Le dimanche à Afurada, il y a moins de musique qu'à Bamako sans doute, mais cafés et restaurants restent ouverts, sans parler du lavoir communautaire qui voit défiler les grands-mères et leurs bassines de linge, jour du Seigneur ou pas. Pour l'équipage du Ruzé, c'est l'occasion de traîner ses tongs sur le port de pêche entre deux siestes, c'est dire si la vie est difficile ! (Bon, d'accord, le capitaine est quand même sur le pont pour effectuer quelques mesures d'angle, car il va bien falloir résoudre le problème du régulateur d'allure avant Madère).