Durant la navigation entre Les Saintes et St-Martin, Le Ruzé a dû principalement affronter les radeaux de sargasses qui déferlent sur l'arc antillais depuis quelques mois maintenant, saturant les plages de la côte au vent de la plupart des îles. Si elles ne sont pas dangereuses, elles ont l'inconvénient de ralentir notre gros bestiau et de déclencher les bouderies de Mortimer, notre régulateur d'allure, qui refuse de barrer au milieu de cette mélasse. L'équipage a donc dû, bon gré, mal gré, s'accrocher au gouvernail durant les 40 heures de nav… Retour en images sur cette dernière croisière sous le vent des Antilles.