Notre gros Ruzé s'en tire sans une égratignure ! Au dehors comme au dedans, rien n'a bougé : si notre voisin au mouillage n'avait pas été là pour témoigner qu'il avait dansé, on n'aurait jamais cru qu'il avait essuyé les vents et la houle d'un ouragan majeur. Bien sûr, il faut rester modeste : même si Le Ruzé était sans doute le bateau le mieux amarré de toute La Martinique, Maria a fait une fleur à l'Ile du même nom en lui épargnant son œillade ravageuse…